Les hommes sont reconnus pour ne pas prendre soin de leur santé autant que les femmes. Fait intéressant : les hommes mariés vivent plus longtemps que les célibataires. Les théories abondent pour expliquer cette disparité ; je suis d’avis que nos proches nous exhortent à mieux prendre soin de nous et à demander conseil à un professionnel de la santé si nécessaire. La sensibilisation à la santé des hommes a fait un pas de géant en 2003 avec la création de la Fondation Movember par un groupe d’Australiens. Grâce à leur initiative, les hommes commencent à faire plus attention à leur santé. Mais ce n’est toujours pas suffisant.

Selon la Société canadienne du cancer, un homme sur sept aura un cancer de la prostate au cours de sa vie ; ceci place ce cancer au deuxième rang après ceux de la peau sans mélanome. L’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP), en revanche, touche un homme sur deux après 50 ans. L’enflure de la prostate se produit dans les deux cas, et ils ont donc des symptômes en commun. Les symptômes de l’HBP peuvent être des signes avant-coureurs du cancer de la prostate ; ignorer les symptômes de l’un peut retarder le diagnostic précis de l’autre.

Si vous ressentez ces symptômes, vous vous devez (ainsi qu’à vos proches !) de consulter un professionnel de la santé. Les tests de diagnostic sont facilement disponibles, et un dépistage précoce pourrait vous sauver la vie.

Faites-vous tester !

Une autre chose que ces conditions ont en commun est qu’aucune ne doit être laissée sans traitement.

Si un cancer est confirmé, un oncologue proposera un plan de traitement appropriés. Les suppléments naturels et les plantes médicinales peuvent être utilisés comme thérapies d’appoint pour aider à gérer les effets secondaires, souvent provoqués par les thérapies conventionnelles.

En cas de diagnostic d’HBP, des approches botaniques éprouvées peuvent être utilisées pour gérer efficacement les symptômes.